Correspondance, tome 13 (1875-1880)

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  • Pour aller plus loin

Avec ce volume de lettres inédites, les Éditions sociales reprennent la publication de la correspondance de Marx et Engels, un des derniers grands éléments du corpus marxien à ne pas avoir été intégralement traduit en français. On y (re)découvre Marx et Engels au quotidien, à travers des lettres chargées d’anecdotes qui ramènent ces deux géants à hauteur d’homme.

Mais c’est bien leur activité politique et théorique qui occupe la première place. L’échec de la Commune de Paris a déplacé le centre de gravité du mouvement révolutionnaire de la France vers l’Empire allemand où commence à se constituer un parti socialiste. Le Congrès d’unification de Gotha en 1875 marque à cet égard un tournant que Marx et Engels accompagnent de façon critique. Accaparés par la situation allemande, ils ne négligent pas pour autant le mouvement ouvrier des autres pays, d’autant que la deuxième moitié des années 1870 est marquée par la dislocation définitive de l’Association internationale des travailleurs (AIT), et l’entrée dans un nouveau cycle politique dans une Europe en ébullition.

Ce volume contient également une série de lettres de tiers à Marx et Engels (Wilhelm Liebknecht, August Bebel, Eduard Bernstein et Karl Kautsky) dont la lecture permet souvent de découvrir une autre facette des discussions présentées dans cette correspondance.

À écouter

Dans cet épisode des Émissions sociales, Guillaume Fondu s’entretient avec Jean Quétier à l’occasion de la parution du treizième volume de la Correspondance de Marx et d’Engels, consacré aux années 1875-1880.

 

Plusieurs lectures des lettres publiées dans ce tome 13 de la Correspondance ont fait l’objet de lecture par des amis des Éditions Sociales. Vous pouvez les écouter sur le podcast des Émissions sociales :

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